Un montage en patte d'oie (anglais : bridle) se termine toujours par trois brins. L'une des extrémités de chaque brin est liée à l'extrémité du cordage principal ou du fil d'acier ; son autre extrémité est fixée à l'objet ou aux objets à saisir ou sur lequel on veut agir. On frappe chacun des trois brins de la patte d'oie à trois endroits différents d'un objet à saisir : grelin, vergue, etc. Si l'on utilise une remorque en patte d'oie, le brin du milieu (le plus résistant), est tourné dans l'axe du navire à remorquer, c'est-à-dire à son étrave. Les deux autres brins sont tournés respectivement à bâbord et à tribord, près de l'avant du navire remorqué ; ils permettent de limiter ses embardées pendant le remorquage. On mouille en patte d'oie sur trois ancres à l'avant. colin, le 02 février 2006 - Répondre

Pourquoi pas, mais vaut mieux connaitre le noeud de charpentier...ou noeud de bois ou bois double beaucoup plus facile et très solide. Dady, le 31 août 2005 - Répondre

En fait il s'agit d'un noeud de cabestan verrouillé par des demi-clefs. Il peut effectivement être utile pour haler certaines pièces, mais comme noeud d'amarre sur corde tendu j'ai des doutes : si votre amarre est (comme c'est généralement le cas) déjà fixée au bateau vous ne pourrez pas faire les demi-clefs après le cabestan... A moins de faire le noeud à l'envers : d'abord les demi-clefs et ensuite le cabestan ? Bof. Alain, le 19 octobre 2004 - Répondre